mercredi 31 août 2011

A LA SOUPE LES INSECTES




Au fil des pages des magazines et quotidiens je lis de plus en plus souvent la grande alerte au changement de nourriture pour sauver la planète. Il faudrait impérativement bouleverser nos régimes alimentaires et se mettre à déguster des insectes riches en protéines et moins pollueurs pour remplacer la viande.
Préparez-vous donc à visiter les élevages agricoles qui vont se spécialiser dans le grillon ou le ver de farine et à manger ces insectes au quotidien.
N'est-il pas vrai qu'il nous reste de moins en moins de races animales à faire disparaître de la surface du globe !  Et puis zut !
Je vous souhaite un bon appétit.
                                                                 CLIC ICI pour en savoir plus.


Une sauterelle cuisinée au chou, ça vous dit ?

Un bébé abeille au barbecue ?

mardi 30 août 2011

SI LES FLEURS DES CHAMPS NE MOURRAIENT PLUS

Mais que sont les fleurs devenues ?
Sont nichées dans ma musette gente damoiselle
Avant le sacrifice des enfances perdues.
Ainsi chérira les tendres pucelles.




Mais que sont les fleurs devenues ?
Sont nues de leur chasteté trop longtemps conservée
Avant les mèches blanches qui parent leur vertu.
Ainsi chérira le damoiseau qui périt chevalier. 




Mais que sont les fleurs devenues ?
Sont éteintes toutes grises de soleil déclinant
Avant la nuit sans lune des temps froids apparus.
Ainsi disparaîtront les tendres amants.
Serge




Fleurs galantes de nos univers, flirts innocents d'une nature parfois fidèle. Lignes pour en parler tant qu'il est temps.

lundi 29 août 2011

ENTRE LA VIE ET LA MORT : C'EST L'HOMME

Entre la vie et la mort, dans cette tranche de temps réservée au grand maître des illusions, les humains se débattent entre les feuilles encore humides des gazettes racoleuses ; l'encre encore fraîche macule de noir ces moments intenses où les faits divers deviennent la une essentielle du quotidien. Tout va alors baigner dans cet univers médiatique un peu glauque qui donne le qualificatif "d'entre la vie et la mort" à toute situation un tant soit peu précaire ; Des accidentés de la route aux hôpitaux en délicatesse avec les fonds publics, des malades riches et en bonne santé (certains malades mentaux dont je ne citerai pas les noms par courtoisie républicaine)  aux grandes entreprises toujours en péril de moins gagner.


A mon tour de vous montrer un arbre aventurier qui a fait sa place entre deux plaques de roche. Le tronc est excessivement étiré et long. Pour donner de l'importance à ce singulier végétal je dirais que cette posture lui fait craindre l'étouffement dans une existence dangereuse "entre la vie et la mort".


L'arbre au tronc prisonnier du rocher.




Il arrive que le temps du vivant soit rattrapé par la mort. Dans cette ruelle la main de l'homme à mis fin à la vie de l'arbre-humour poussé dans le mur pour ombrager les journées des vieux villageois.  Et les larmes coulèrent.



samedi 27 août 2011

MOMENTS D'ETE EN SUD-ARDECHE


C'était un jour comme les autres, un après-midi d'été de mi-août (miaou pour les amoureux de la gent féline) avec les "merveilles" sud-ardéchoises pas au rendez-vous. Banalités quand vous jouez les expertes, ferventes admiratrices et guides indélicates des chemins de traverse que nos pas oublient pour d'autres destins.


Vacances heureuses !!!




Va moins vite petit, tu as tout le temps ...

Pour le fun ...


vendredi 26 août 2011

QUAND LA FRANCE FAIT VOEU DE PROGRES SOCIAL SUR FONDEMENT D'OBSCURANTISME








Qui disait que la crise était finie ? Nos dirigeants pardi !
Qui refuse d'entendre les termes d'austérité, de rigueur ? Encore nos dirigeant !
Qui préfère clamer et prêcher quelques menues économies ? Toujours nos dirigeants !
Qui va faire les vrais efforts ? Surtout pas nos dirigeants ni leurs affidés et complices !




Mensonges ! Tricherie sur toute la ligne. Sur la situation réelle de la France qui s'en tire, pour combien de temps, par des paroles. Alors il me souvient la chanson interprétée par Dalida, "Paroles, paroles",. Certains passages définissent fort bien les grands prêches entendus ces derniers jours : 


"Mais c'est fini le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi
Quand on les oublie.
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
Et emporte au loin le parfum des roses."
"Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles,
Encore des paroles que tu sème au vent.
Encore des mots toujours des mots
Les mêmes mots."


Sur un optimisme racoleur - enfumage permanent pour faire oublier au peuple les échéances électorales prochaines - le roi et ses pairs se gaussent  de la récession économique (comme par hasard ils joueront les étonnés) qui va encore étendre les inégalités. Et tout ça pour récupérer une dizaine de milliards d'euros alors que nos principaux voisins tablent sur des plans d'une ambition autrement réaliste. Il est vrai que l'amnésie occupe une part importante du patrimoine national.



Si j'étais devin, prophète en ce beau pays de France qui cache sa misère sous des discours d'orgueil - les promesses sont généralement sans lendemains et quand elles se réalisent durent le temps d'un soupir - je prédirais pour les plus fragiles des citoyens - les classes moyennes qui sont devenues fauchées depuis en font partie - des lendemains anti-déficits beurrés de cynisme verbal à la croissance de son sans limite, comme la courbe du chômage qui était il y a encore peu maîtrisé grâce à des trains de mesures inventées spécialement pour notre pays.
Est-ce faux de dire que chez nous le colossal enrichissement des élites est inversement proportionnel au gouffre grandissant des déficits publics. C'est vrai répond un écho innocent qui crie plus fort chaque jour : les riches vont se contenter de rendre une infime partie des cadeaux reçus avec le bouclier fiscal quand les autres, qui sont pas riches bien sur, vont voir surgir une panoplie étudiée pour prendre leurs derniers centimes. 
Et au diable la République tant que certains auront l'ivresse du pouvoir ! 


Photos prises à la Jean-foutre. Comme certaines décisions. Moralité : résultat identique, nul.





jeudi 25 août 2011

LA VIEILLE MAISON AVEC UN COEUR


Les bonnes nouvelles étant toujours retardées mais les mauvaises ayant des ailes, je vous confirme que :


"C'est dans les vieilles marmites qu'on fait la meilleure soupe."
"Dans un vieux pot on mange une bonne soupe."
                                                                                   
                                                                        ° ° ° ° °    


J'ai eu mille battements au tempo inconnu, devant cette vieille façade qui lorgnait sur la rue. Sur la porte, comme une invite pleine de fraternité, elle offrait son coeur de pierre aux gens désabusés. 





mercredi 24 août 2011

L'EGLISE SAINT-BONNET DE JAUJAC et son HISTOIRE MOUVEMENTEE

La première église de Jaujac en sud-Ardèche fut acquise par le chapitre de Viviers en 1255. C'est en 1275 qu'elle se rangeait sous la protection de Saint Bonnet.
Détruite par les huguenots durant les guerres de religions elle fut rebâtie deux fois.
L'église actuelle a été construite de 1848 à 1852 d'un style néo-classique et de dimensions qui paraissent  imposantes pour la population actuelle ; au XIXème siècle Jaujac comptait plus de 2.800 habitants.
Les ennuis de l'édifice religieux ne sont pas terminés. Le clocher s'écroule en 1897. Reconstruit il sera de nouveau affaibli en 1963 à la suite de la chute d'un avion anglais qui s'écrase sur le quartier de la poste.
L'église est équipée d'un superbe orgue de 23 jeux qui participe aux concerts donnés durant la saison touristique.


*Pour en savoir plus CLIC ICI  et CLIC ICI.
Des photos en cliquant Jaujac dans "photos par thèmes" colonne de droite de cette page.


L'église Saint-Bonnet à Jaujac (Ardèche).








La commune de Jaujac possède aussi une charmante chapelle dénommée chapelle de Laulagnet au bord d'une route étroite qui invite à circuler sans vitesse pour profiter de la nature et du chant des cigales en été.



Jaujac (ardèche) la chapelle de Laulagnet.

Entrée de la chapelle de Laulagnet à 07 Jaujac

mardi 23 août 2011

QUAND LES INSECTES LOGEAIENT CHEZ L'HABITANT

C'était ma grand-mère, enfin notre. Elle avait décidé à 93 ans de partir vivre sa vie et découvrir d'autres horizons. Confiante en son destin elle avait laissé le sort désigner CANNES comme prochaine étape du nouveau jeu de rôle dont elle décidait seule des règles.
Deux jours avant de confier le mobilier de son appartement à un déménageur dont elle avait bien connu l'aïeul (ah! le front populaire, quelle belle époque c'était!) elle sortit sans  en dire plus et l'air de rien.
A l'animalerie du quartier tenue par les  soeurs Demi et Claire Delune, deux vieilles filles extravagantes et coincées du porte-monnaie vêtues de fringues chinées aux puces, notre alerte aïeule passait commande,  fière et sérieuse comme un pape à confesse.
- Madame Claire je souhaiterais 24 puces moitié femelles moitié mâles, 9 cafards pas trop gras, 12 araignées, 36 punaises des lits jeunes de préférence, une douzaine de mites, 7 mouches domestiques et 4 mouches à mer.. s'il vous plaît.
- C'est pour faire une drôlerie à votre cousine fernande ? mi-figue, mi-raisin se renseigne la commerçante.
- Diantre! que non répond notre grand-mère qui n'a pas l'air d'apprécier outre mesure le trait d'humour de Claire Delune. Vous n'êtes pas au courant ? Je déménage après-demain et  le propriétaire exige que je rende l'appartement dans l'état où je l'ai trouvé.


Oups! Mea culpa, c'est une blague.










lundi 22 août 2011

LA POLITIQUE N'EST PAS L'AVENIR DE L'HOMME

"Dans la vie il y a des hauts et des bas. Il faut surmonter les hauts et repriser les bas." - Jacques CHIRAC, extrait d'un discours 01.1986.


C'est un humour qui parfois me désole et me montre l'homme à ras de terre ; d'autres fois me fait sourire et me dit que tant que nos hommes politiques seront  capables de tant d'innocence rien n'est perdu. Peut-être n'a-t-on pas aimé "le politique" mais admettons la réalité de cet homme dual qui n'a certainement jamais abordé écouté et suivi son double social et bienfaisant autrement qu'en effets tricheurs singeant la cordialité alors qu'il portait surement au fond de lui l'essence de la générosité. Pour ma part j'y crois à le voir aujourd'hui, quand la vieillesse triche rarement. Et il me vient une idée : si les hommes abandonnaient la politique et retrouvaient leur simplicité dans les temps à venir. Quelle utopie direz-vous! Et que vous aurez raison.


*clic sur les images pour voir plus grand.
La terre vue d'en haut.


"La terre vue d'en haut, le ciel vu d'en bas, quelle importance à nos idées, le temps passé les oubliera comme les images d'aujourd'hui, vues d'en haut ou vues d'en bas."


Le ciel vu d'en bas.

dimanche 21 août 2011

L'EAU APPRIVOISEE AU FIL DES RUES D'AUBENAS

Dans les villages et les villes les histoires d'eau sont des récits qui prennent souvent naissance dans les temps reculés pour échouer à chaque nouvelle génération en légendes ou mythes racontés de mémoire à certaines occasions.
Si l'eau à toujours été présente dans la petite ville sud Ardéchoise d'Aubenas elle était de pluie et croupissait dans des citernes avant que la sécheresse n'oblige les albenassiens à la remonter de la rivière à dos d'hommes ou d'ânes. Ce n'est qu'en juin 1863 que l'eau courante coulait des fontaines publiques réparties au fil des rues. Le mérite en revenait à Jean Mathon maire d'Aubenas.


Pour en savoir plus, CLIC ICI  et ICI .


AUBENAS. Fontaine Jean Mathon de nuit.



AUBENAS. Fontaine place du château.

samedi 20 août 2011

QUAND LES FEMMES SORTAIENT TÊTE NUE


"C'était une époque, que beaucoup d'entre nous ont connu, et qui sent bon notre jeunesse.  Des temps encore embellis par le poison euphorisant des vieux jours qui nous sont tombés sur le cou. J'entend souvent "Que c'était bien en ces temps là".  Et bien non. C'est  "prendre des vessies pour des lanternes" que croire à la grande vertu de l'homme laïque, fraternel et égalitaire en ces temps pas si lointains, pas plus qu'en nos jours actuels rincés à l'eau de nos larmes de crocodiles. Bigre que la femme revient de loin même si  beaucoup reste encore à apprendre et à appliquer."

"Nous sommes dans un petit village du sud de l'Ardéche qui s'éveille au monde chaque année aux alentours du jour de Pâques. Et pour en savoir le jour et planifier cette fête encore faut-il effectuer de savants calculs et ne pas vous tromper sur votre religion. En fait les beaux jours ensoleillés s'installent sur la bourgade. Ruelles et placettes reprennent leur position stratégique pour la population avide de nouvelles fraîches. Une nuée de gamins s'égaie dans la nature alentour, va y passer les journées en découvrant les mystères de la vie, rentrera la nuit tombée ivre de fatigue et de connaissances nouvelles rêver sur les paillasses des chaumières. Les hommes, avant le jour, partent rejoindre les vignes par un parcours connu d'eux seuls et semé de rencontres patoisantes et arrosées au vin clairet si léger à la soif matinale. La journée seules les femmes peuplent le village. Affairées au quotidien de leur patient travail de fourmis, effaçant les jours et les mois, associant les années en un perpétuel ruban de commentaires murmurés dans l'ombre des murs de pierres. Ce n'est que dans la soirée qu'elles sortent, non voilées, prendre l'air quand souffle le mistral vent qui vient du Nord et qui rafraîchit les ruelles."
retour au bercail. cause de canicule femmes non voilées.


1- Temps sombres. Femmes non voilées, retour au bercail.

2- Temps actuels. Idem mais en couleur.

vendredi 19 août 2011

LES FRUITS DE LA RAPINE CIVILISEE


Des arbres au bord des routes, des fruits de liberté offerts gratuitement*, séduisant butin pour chercheurs passionnés, saine et douce récolte aux saveurs ancestrales.
* Ce qui ne signifie aucunement la liberté de vous approprier tout ce qui parait agréable à votre regard et à portée de votre main."


Le contraste est partie prenante de mon caractère. Mes photos accompagnent parfois le chemin de l'excessif. "C'était en Cévennes le 31 juillet dernier."


La châtaigne a longtemps remplacé la pomme de terre dans le département de l'Ardéche.
Les châtaignes sont encore dans leur bogue.




Les pommiers rendus sauvages sont le bonheur de promeneur.
La joie du pommier sous un ciel de liberté.


Un flouté de joie et aussi de mistral.


Les mûres de la ronce commune se picorent aux beaux jours.
Les mûres sont offertes par les ronciers.




jeudi 18 août 2011

SI VOTRE CHEMIN PASSE PAR JAUJAC en CEVENNES ARDECHOISES


C'était fin juillet et un temps mi-figue mi-raisin sur les Cévennes Ardéchoises. Balade autour du village de JAUJAC traversé par la rivière le LIGNON. Sous le massif du Tanargue les vacanciers et visiteurs, nombreux,  utilisent les sentiers balisés pour découvrir ce site majeur du volcanisme Ardéchois. Et .... nous les avons suivi.
Le Très beau Site de la Mairie de Jaujac : CLIC ICI .




Le village de JAUJAC du Domaine de Rochemure.


JAUJAC (07). La place du Champ de Mars.
JAUJAC (07). La place du Champ de Mars.
JAUJAC (07). Charcuterie locale aux cochons d'Ardéche élevés en plein air.


"Nous avons désespérément cherché les porcs sauvages aux alentours de Jaujac. Pas vus. Ils devaient surement faire la sieste en quelque endroit bien frais. Allez, pas fâchés, acceptons de rester ringards et peu futés. Pour les locaux c'est bien la preuve que nous sommes justes bons à payer nos places pour fréquenter le cirque itinérant qui fait halte sous nos fenêtres urbaines." 



mercredi 17 août 2011

BLURP les ROCKEURS COOL D'AUBENAS



Je vous invite à regarder "CANICULE" le clip  de BLURP groupe rock sud-ardèchois . Cette vidéo a été réalisée par un pro nommé Olivier HERMITANT  à l'occasion de la sortie de leur dernier CD 14 titres, sous le label Ardèchois et Albenassien "Le bruit des caves".
Comique premier, second degré, c'est selon et joli travail des acteurs et du réalisateur. A voir d'urgence.


Retrouvez-la sur leur site : CLIC ICI.
Ou chez Dailymotion : CLIC ICI


Les trois "BLURP" avant le délire musical. Pour cette photo je me suis servi chez sur la page perso de Michel et Manon LAGARDE http://m.lagarde.free.fr/ que je vous recommande. Merci à eux.

COMMENT CONFONDRE BRETECHE et LATRINES du CHATEAU D'AUBENAS

Le Château d'Aubenas dont la construction remonte au XIème siècle et qui a subi bien des modifications depuis est doté sur sa face nord d'une sorte de guérite en pierre, bâtie en saillie sur mâchicoulis. J'avais tout d'abord cru reconnaître en cet ouvrage des latrines datant du moyen-âge prétextant une très bonne exposition pour l'hygiène de ses occupants. En fait cette logette en relief sur la façade percée de nombreuses ouvertures semble bien être une Bretèche de façade, soit un élément défensif du château qui permettait de jeter des projectiles sur les assaillants, ceci jusqu'au XVème siècle. 
Avouons tout de même pour adoucir la punition que ces bretèches se confondent et servaient souvent en ces époques de latrines pour le confort des châtelains.
Pour en savoir plus CLIC ICI.



mardi 16 août 2011

LA MOUCHE ET LE BOURDON SUR UNE FLEUR CEVENOLE



Pendant que je m'appliquais à garder cette mouche dans la visée de l'appareil sans l'effaroucher un promeneur qui parlait avec bras et mains et à qui il manquait visiblement un compagnon de causette me fit craindre le pire.




                                   (Ce Voyeur n'a rien à faire dans cette histoire ...)
Ca c'est un voisin qui regardait la scène et se tordait de rire ...


Evitant de répondre au chevronné photographe qui brossait avec force détails techniques l'art utilisé pour capturer deux clichés d'une fleur des champs exceptionnelle dont il ignorait le nom - et qu'il voudrait bien connaitre, et est-ce-que je suis du coin, et où j'ai pris mon appareil (surement pas volé va! couillon), et que je devrais choisir un autre angle, enfin pour corser la rencontre une kyrielle de révélations sur sa modeste personne - excédé je finis par tourner le chef et regarder sévèrement dans les yeux le moulin à paroles en pleine extase.






Le regard avait causé une paralysie brutale du parler chez l'incorrigible phraseur qui m'allait à ravir d'autant plus qu'un sympathique bourdon s'était invité pour tenir compagnie à la mouche et la taquiner.