... Car les fleurs sont l'âme des plantes ; même fanées elles conservent l'image de leur beauté passée et aussi la vision des saisons futures dans les graines que le vent disperse.
En passant, un cliché du Lac de Darbres sur la pente sud du massif du Coiron dans le département de l'Ardèche. Le village de Darbres au bord de la départementale 224 mérite une halte.
AU FAUBOURG ST JACQUES ON LOGE A PIED ET A CHEVAL A Salavas, dans le sud de l'Ardèche, sur une façade dix fois rafraîchie, il existe toujours un témoin des temps passés. Pour les générations actuelles encore valides du cerveau, je pense, l'enseigne aux couleurs défraîchie sur le mur de vieilles pierres retrace l'épopée des voitures à chevaux sur nos routes provinciales et les auberges d'un soir devant la cheminée. A noter que le voyageur pédestre n'était pas oublié... Clic sur les images pour voir plus grand.
Les grandes fleurs des althéas "oiseau bleu" de couleur mauve se renouvellent copieusement et régulièrement durant l'été. J'avoue ma préférence pour ces arbustes qui se sont échappés des jardins et poussent librement dans la nature, le long des routes et chemins. Pour en savoir plus : CLIC ICI
Quand les éolienne viennent perturber le paysage et détourner le regard dévolu aux fleurs et aux couleurs de la nature. Une éolienne ç'est rigolo ça fait parler, un parc d'éoliennes qui couvre la colline c'est une autre affaire. C'est de la colère en devenir. Comme quoi on peut être pour cette énergie propre et ne pas en savourer le spectacle.
C'était un canard sans pitié pour ses poltrons de congénères Qui mobilisait cet espace de rivière En montrant son cul aux curistes jubjugués Devant ces figures érotiques ; c'était ce qu'il leur manquait.
Pardon: I Have a Dream. Habitation Loyer Gratuit, Charges Comprises Et si ça existait ce truc bancal ? J'en connais qui riraient même à s'en mouiller les bottes, à en péter dans leurs brailles de toile tachées du cambouis de leurs ferrailles. C'est que c'est sérieux, monsieur, le loyer chez les "gueux". Faut pas rater la date sinon c'est la carriole pour se coltiner les quatre meubles vermoulus. Virés de la banlieue les assoiffeurs de propriétaires vampires : alignés dans l'espace de la plus basse caste. Plus loin que la banlieux sur les terres farouches, celles d'où l'on ne voit rien et où personne ne vient. Couchés ! là sous les étoiles et sans user la terre, notre bonne vieille terre féodale des temps passés. Un pari, tiens ! Et si notre Ministre de l'égalité des territoires et du logement inventait un projet de logement gratuit pour tous, un truc tellement bancal qu'il en deviendait possible. Pas comme "raser gratis" par exemple dont on parle beaucoup mais n'exista jamais. Non. Un délire de Ministre un soir de cafard après la visite d'un camp d'exclus du système. Si, si. Ca fait mal ces images, surtout la nuit en comptant les moutons. (Vraiment sans méchanceté Madame). J'en connais qui diront en serrant leurs gamins "Le peuple dort ce soir sans bourse délier -que nous avons vendue, elle était toujours vide- et sans squatter encore les taudis du déshonneur." Avec dignité enfin !
Balade autour du village de SALAVAS en plein été sud-Ardèchois. Passées les rives de la rivière Ardèche un chemin de terre nous conduit - soleil aoûtien et crissement des cigales sans bourse délier - au bas du vieux bourg et son château du XIIè siècle pour sa partie la plus ancienne.
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Panorama 2 photos. (Clic sur image pour voir en plus grand)