Les ennemis et les pourfendeurs de ce grand écoeurement, de ce nouvel équilibre économique mondial imposé- qui laisse les foules de démunis envahir les sentiers de la déchéance et les mers fielleuses d'égoïsme- existent encore. Pas en bon état certes, mais vivants, toujours aptes à apprécier l'odeur des foins et des fleurs que colonisent les insectes. Il reste un espoir. Poètes et philosophes regagnez vos demeures noircir vos grimoires que comprendront les générations futures.
Les foins prêts à couper. |
"Couchés dans le foin
Avec le soleil pour témoin
Un p'tit oiseau qui chante au loin
On s'fait des aveux
Et des grands serments et des voeux ..."
Extrait de Couchés Dans Le Foin. Musique De Mireille, Paroles De Jean Franc-Nohain, 1932.
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