Par ces jours d'ivresse fièvreuse, à l'abri d'un astre colérique qui efface nos désirs dans le feu de ses incendies déraisonnables, épanchons nos rêves entre les bras des muses grecques couchées au Mont Parnasse. Poètes sans abris, commerçants de leur âme ou flibustiers de tout bord profitez en largesse des soldes avenants ; en Grèce, même en ce pays aux âmes alanguies, m'a t'on dit nos défauts sont les mêmes qu'ici.
Clic sur les photos pour voir plus grand.
Pour la fraîcheur en bouche ... |
En attendant l'orage ??? |
Se rafraîchir aux battements d'ailes du papillon ... |
Broyer du noir ... |
Le jardin aussi a la fièvre en ce moment.
RépondreSupprimerJ'imagine la soif des légumes et des fleurs quand les jardiniers boivent le pastis ... A+
Supprimer