Au fil des flâneries, dans les ruelles d'où s'évadent les senteurs des siècles d'histoire et d'anecdotes lugubres ou bien seyantes aux sentiments du jour, le temps s'égare en volutes éphémères qui rejoignent les heures des conflits surannés. Quelques traces, sur les pierres rescapées de ces époques épiques qui épicent nos rêves, se laissent deviner sans accorder toujours une réponse aux devinettes sucrées des paroles en suspens. C'est à regarder sans se gausser au rythme des saillies des tribuns de la ville en des âges pas toujours respectueux des bourgeois aux mains blanches*.
*Au moyen-âge les bourgeois ne travaillaient pas la terre ...
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Ah! Les portes des vieilles villes !
RépondreSupprimerElles ont tant de choses à dire ... A+ Dominique
Supprimermurmures des portes et murs...
RépondreSupprimer(je 'vote' pour la photographie 5 - blue doux)
Merci pour la visite. Je suis en panne sur les commentaires pour ce blog. A+
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