J'imagine ces insectes pris un instant d'une joie furieuse, je les invente poussés par un brin de mistral, ce vent qui rend chaque jour au soleil sa fonction primordiale, en jouets qui gambadent, de fleurs en fleurs, de vie en trépas comme s'ils inventaient les ferments d'un bonheur inconnu de nos rêves. Peut-être pour une fin glorieuse aux atours de dame des temps jadis comme aux âges perdus quand une abeille y butinait, un parfum sous son ombre ; une autre sur les thyms me regardait passer. C'était avant, c'était hier ...
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ça s'agite dans les chemins buissonniers... ça cherche pitance et gite... et nous, les zhumains, observons, contemplons, muets d'admiration... et rêvons... la Vie quoi !!...
RépondreSupprimersourire, au naturel.......
Bravo. En quelques mots tout est dit et bien dit. Alors continuons le rêve ... A+
SupprimerBel hommage photo-poétique.
RépondreSupprimerEt ils le méritent ces petits êtres sans paroles qui disparaissent sans faire de bruit ... Merci et A+
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