samedi 11 décembre 2010

LA VILLE QUI AIMAIT LA CAMPAGNE OU QUAND LA RURALITE LEVE SON BERET

Quand on me donne la liberté de choisir entre la ville et la campagne ?  :
"Et bien les deux mon sénateur".

Toujours la même histoire qui revient: celle de Jean de la Fontaine,  ses rats des villes et rats des champs. Pareil que pour nos députés et sénateurs Ardèchois qui montent à la capitale. A la gare, quand  ils sortent du train, on leur demande sourire en coin : de la ville ou de la campagne ?

En fait un vieux débat opposant bourgeoisie et noblesse féodale qui symbolise la lutte entre ville et campagne. Les idéologies politiques régentent le quotidien, meurent et renaissent depuis les débuts de l'humanité.
Terminons ces quelques borborygmes de lever tardif sur ce dicton que je trouve tout à fait réaliste et plein d'humour :

"En ville, un enterrement, c'est un embouteillage. A la campagne c'est une distraction pour l'après-midi."    Georges ADE

* Les photos ont été prises en sud-ardèche à Aubenas (07) en fin d'après-midi le 26 novembre.

Dans les rues d'AUBENAS (Ardèche) en fin d'après-midi.

AUBENAS (Ardèche) dans les vergers du paradis.

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