*Je vous conseille de débuter par la fin.
La mort de l'aigle
Et le soleil plus proche en un azur plus clair
Pour échauffer l'éclat de ses mornes prunelles.
Toujours plus haut, enflant son vol tranquille et fier,
Il plane sur l'orage et monte vers l'éclair
Mais la foudre d'un coup a rompu ses deux ailes.
Avec un cri sinistre, il tournoie, emporté
Par la trombe, et, crispé, buvant d'un trait sublime
La flamme éparse, il plonge au fulgurant abîme.
Heureux qui pour la gloire ou pour la liberté,
Dans l'orgueil de la force et l'ivresse du rêve,
Meurt ainsi d'une mort éblouissante et brève !
José-Maria de HEREDIA.
MORALITE
Mais attention, le concernant, il s'agirait pour notre bonheur d'une simple mort politique ; une tranche de vie à oublier très vite et pourtant apte à laisser une empreinte traumatisante dans les pages d'histoire.
Et pourtant la joie l'emporterait sur le venin, cette méchante posture politicienne qu'il faudra bien expulser avant même les sans papiers.
Sans rancune.
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