Bon ! ne rêvons pas. La vague est repartie, crescendo, parsemée encore dans divers lieux de notre pays, mais bien réelle. Le mois d'août se prépare façon soupe à la grimace. Et entre nous ce n'est pas faute d'avoir été prévenus, alertés conditionnés par les différents échelons de la hiérarchie médicale et aussi par certains de nos élus, notamment le Président de la République et son gouvernement.
Le temps n'est déjà plus aux ritournelles symboles de la joie de vivre en mode estival. Revient celui des masques dans nos sorties quotidiennes et l'accélération des gestes symboles, règles de sécurité anti Covid. Alors il se reparle de confinement et d'autres scènes bien particulières à ces temps d'épidémie. Que ces parleurs, sinistres oiseaux d'augures mauvaises comme leur tempérament, se rappellent d'autres époques bien plus cruelles encore quand des hommes chargeaient d'autres hommes griffés d'une étoile jaune dans des véhicules de transport dédiés au bétail. Et bien d'autres étapes de l'humanité qui resteront dans les âmes comme le pire des hommes. La cruelle sottise d'individus partisans de ce mot "anti" ; anti tout pour seul fantasme d'une vie surement sans artifices mais aussi bien sombre quand le ciel s'éclaircit et que pointent au firmament les couleurs du regain et de l'universalisme. Jean Giono au secours ! Ils sont devenus fous. (En ces temps bien particuliers ...).
Nous n'aborderons pas le passage en forme de sauvetage des insectes dans une nature déboussolée. Un clin d'œil à ces petites bêtes en fait pas si bêtes mais bien fragiles aux gesticulations des humains. Formule humoristique et remerciements sincères aux créateurs de ces petits panneaux bien sympathiques et dont j'ignore les coordonnées. J'ai inclus un exemplaire dans ma photo d'un papillon bien abimé par la vie.
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Ce papillon a trop souffert. |